Les Tamalous plongent dans le passé

Les Tamalous plongent dans le passé

Après la crise de nostalgie de la semaine précédente les Tamalous ont décidé de la soigner. Rien de tel pour les vieux (comme les appelle Véronique) que de faire une Capoulade. En effet, les Tamalous ont retrouvé leur enfance au milieu d’un hangar de 1200m2 rempli d’objets dont on a tous oublié l’utilité depuis longtemps. Le Grenier de Capou n’est pas un débarras, ce n’est pas non plus un musée, c’est un espace où les mots farfouilleur et rêveur riment avec bonheur.

Vidéo: Le Grenier de CAPOU en AUBRAC Vidéo: LE GRENIER DE CAPOU

Les Tamalous veulent reprendre l’air

Les Tamalous veulent reprendre l’air

Les tamalous ne sont pas aussi tête-en-l’air que l’on pense car l’air de rien, ils ont emmené 40 blocs de plongée avec eux, ce jeudi 16 février à l’Argonaute, pour les faire réprouver dans le but de pouvoir bientôt prendre l’air sous l’eau.
Après un petit tour aux « Marins d’Eau Douce » pour déguster un bon repas, nos tamalous ont eu besoin de changer d’air au musée des « Ailes Anciennes ». Si Denis et Jean-Pierre ont l’air si émus c’est qu’ils ont retrouvé l’avion qui les a transportés dans les airs pendant leur service milit’air.
Ils sont rentrés à Rodez sur l’air de la chanson de Gérard Lenormand « Nostalgie ».

Les Tamalous sur les traces de Georges

Les Tamalous sur les traces de Georges

C’est Xavier qui a proposé une plongée au ponton de Thau, mais comme il avait dans la tête de faire une visite chez Sami, le vendeur d’huitres, il en a oublié de prendre la clé du cadenas de la barrière. Nos Tamalous ont donc dû porter leur matériel sur le dos pendant 300m. Après un casse-croûte ils sont allés à Sète pour visiter l’espace Georges Brassens sans se douter que Georges les avait accompagnés tout le long de leur escapade.

C’est une plage où même à ses moments furieux
Neptune ne se prend jamais trop au sérieux
Où quand un bateau fait naufrage
Le capitaine crie “je suis le maître à bord”
Sauve qui peut, le vin et le pastis d’abord
Chacun sa bonbonne et courage
Non ce n’était pas le radeau de la méduse, ce bateau
Qu’on se le dise au fond des ports, dise au fond des ports
Il naviguait en père peinard sur la grand mare des canards
Et s’appelait les copains d’abord, les copains d’abord
Au moindre coup de Trafalgar, c’est l’amitié qui prenait l’quart
C’est elle qui leur montrait le nord, leur montrait le nord
Et quand ils étaient en détresse, qu’leurs bras lançaient des S.O.S
On aurait dit des sémaphores, les copains d’abord
Elle est à toi cette chanson
Toi le Tamalou qui, sans façon
M’as donné quatre bouts de pain
Quand dans ma vie il faisait faim
Toi qui m’ouvris tes huitres quand
Les croquantes et les croquants
Tous les gens bien intentionnés
S’amusaient à me voir jeûner
Ce n’était rien qu’un peu de pain
Mais il m’avait chauffé le corps
Et dans mon âme, il brûle encore
À la manière d’un grand festin
Mais s’il attrape une ondine
L’une de ces gourgandines
Femme mi-chair mi-poisson
Le Tamalou
Coup de théâtre, dévore
Tout cru le bel animal
Une cure de phosphore
Ça peut pas faire de mal
Les Tamalous se ressourcent

Les Tamalous se ressourcent

Cette fois c’est André, un ancien du club, qui a proposé aux Tamalous d’explorer les “Salles de la source“. Certains se sont équipés comme des spéléologues professionnels, casques de vélo, lampes fixées avec des ficelles, bottes et combinaison d’agriculteurs pour effectuer une exploration souterraine à la recherche de la source. D’autres peu convaincus par la “voie caverneuse” d’André ont décidé d’aller vérifier la rumeur comme quoi des enfants auraient découvert une entrée sur le causse.

Les Tamalous-spéléos se sont retrouvés bloqués à l’entrée principale par une grille fermée mais comme le causse est comme un célèbre fromage français à trous, ils ont trouvé une autre entrée pour commencer leur progression dans l’obscurité. Puisqu’on en est aux allusions creuses qui eut “Crû hier” que ce célèbre fromage français changerait de nom suite à un processus créatif “Et mental“.

Pendant ce temps, les Tamalous-surface réalisèrent une ascension périlleuse et au risque de leur vie pour arriver sur le causse. Ils questionnèrent, sur la rumeur, les seuls habitants qu’ils rencontrèrent. Ceux-ci leur répondirent “Anons? Il n’y a jamais eu de petits sur le causse”. “N’Hi-Han” ainsi la possibilité d’une autre entrée, nos Tamalous-surface décidèrent d’explorer quand même le causse au risque de se perdre dans cette immensité désertique. Tournant en rond sans s’en rendre compte, ils retrouvèrent par hasard leur point de départ.

Pendant ce temps, les Tamalous-spéléos, un peu inquiets quand même, progressaient péniblement dans l’eau et la boue dans les différentes salles pour essayer de retrouver la source. Après d’héroïques efforts pour grimper à la force des bras une corde pour rejoindre la salle supérieure, ils décidèrent de faire demi-tour.

A leur arrivée à l’air libre, prouvant que la “salle est sûre“, ils se précipitèrent à la fontaine pour se nettoyer et se restaurer. Merci Denis pour l’organisation et ce petit goûter!

Les aventures des Tamalous sur l’Aubrac

Les aventures des Tamalous sur l’Aubrac

C’est en cherchant la piste d’un loup qu’il voulait photographier, que Denis repéra des traces qui lui parurent très étranges. A son avis c’était certainement les traces du mystérieux “Homme des Neiges“. Il appela alors Michel qui est le spécialiste du Népal et il décidèrent d’un commun accord qu’il fallait absolument répondre à la question “l’Homme des Neiges Yéti ou Yéti pas sur l’Aubrac” ?

Ils demandèrent l’aide des Tamalous et leur fixèrent rendez-vous dans un lieu perdu au milieu des neiges, le carrefour de la route de Rieutort d’Aubrac et du pont sur le Bès. Après un petit moment de recueillement à la mémoire des explorateurs qui ont disparu sur l’Aubrac, les Tamalous réussirent à se rendre à Marchastel pour commencer l’ascension de la plus haute montagne qui culmine à plus de 30m d’altitude. Arrivés au sommet, ils eurent beau chercher sur tout le plateau de l’Aubrac, ils ne virent aucun signe de la présence de “l’Homme des Neiges“.

Épuisés et morts de froid, il décidèrent de redescendre pour s’abriter dans un vieux four à pain afin de reprendre des forces. C’est lorsque Jean-Claude leur a proposé son “eau de vie avec un crapaud à l’intérieur de la bouteille” qu’ils décidèrent tous d’aller prendre une boisson chaude dans la pauvre cabane de chasseur d’images utilisée par Denis et Monique.

Comme le temps devenait menaçant, ils décidèrent de rentrer. “C’est le long d’une route solitaire dans la campagne enneigée, alors qu’ils cherchaient un raccourci que jamais ils ne trouvèrent“, qu’ils finirent par arriver à la cascade du Déroc. Bloqués sur le bord de la falaise ils aperçurent enfin, en contre-bas, le mystérieux “Homme des Neiges” regagnant sa caverne située sous la cascade.

Émerveillés par ce spectacle, les Tamalous décidèrent de partir vers de nouvelles aventures.